Évangile du dimanche

19 mars – 4e dimanche du Carême – A

LA LUMIÈRE QUI MET EN MARCHE

« Dans le Seigneur, vous êtes lumière », affirme la deuxième lecture en ce dimanche. Mais nous ne sommes pas lumière uniquement par nos propres moyens. Nous le devons au Ressuscité. Il permet le réveil et le relèvement. Il devient notre espace de décision, d’engagement et d’action.

Crédit :
Vivons ensemble la marche vers Pâques, grâce au rédacteur du thème, Alain Faucher de la revue Vie liturgique.
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Lectures
1 Samuel 16, 1b.6-7.10-13a
Psaume 22 (23)
Éphésiens 5, 8-14
Évangile d’après Jean 9, 1-41

Commentaire de l’évangile

Nous vous proposons cette semaine un commentaire de Francine Robert, Vouloir voir… ou pas, qui propose un éclairage actuel  sur nos propres aveuglements, un texte rédigé à partir d’une homélie de Paul-André Giguère. Voici son introduction :

« En passant Jésus vit un homme aveugle de naissance. D’entrée de jeu, Jésus est présenté comme celui qui voit. Dans ce récit où tout parle de voir et d’être aveugle, Jésus est le voyant qui donne la vue. Les uns apprendront à voir, les autres refuseront de voir. Mais lui, que voit-il ? Non seulement un homme aveugle, mais une opportunité de travailler aux œuvres de Dieu, de mettre en actes et en lumière le salut offert.
Les récits bibliques sont tout sauf anecdotiques. Ils ne se limitent pas à ce qui est arrivé jadis à un aveugle anonyme de Jérusalem. Ils révèlent ce qui arrive, ou peut arriver, à chacune ou chacun de nous. »

12 mars – 3e dimanche du Carême – A

LA MEILLEURE EAU

Nous sommes toutes et tous habités par des soifs diverses. Seule l’eau que nous offre Jésus peut pleinement et véritablement nous apaiser.

Crédit :
Vivons ensemble la joie de la naissance, grâce au rédacteur du thème, Josée Desmeules de la revue Vie liturgique.
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En guise d’accueil

Nous voici déjà à mi-chemin de notre préparation à la grande fête de Pâques. En ce troisième dimanche du Carême, le Christ veut se faire présent comme source d’une  eau qui ne tarit pas et qui, seule, peut vraiment étancher notre soif.

Introduction à la liturgie de la Parole

La première lecture  rappelle l’épisode du peuple d’Israël assoiffé qui murmura contre Dieu dans le désert. Saint Paul nous dira que l’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint. Et Jésus confirmera que l’eau vive de sa parole et de son Esprit est la seule capable de vraiment calmer nos soifs.

Lectures
Exode 17, 3-7
Psaume 94 (95)
Lettre de s. Paul aux Romains 5, 1-2.5-8
Évangile d’après Jean 4, 5-42

Commentaire de l’évangile

Le site Interbible nous propose cette semaine le commentaire de Lorraine Caza.
Membre de la Congrégation de Notre-Dame, Lorraine Caza est bibliste et professeure honoraire du Collège dominicain de philosophie et de théologie (Ottawa).
Voici la présentation et le début de son commentaire :

L’année liturgique A propose à notre contemplation les trois magnifiques récits johanniques de La Samaritaine, de l’Aveugle-né et de la Résurrection de Lazare. C’est au 3e dimanche du carême que nous retrouvons le premier de ces grands récits.
Les puits, lieux de rencontres
Jésus a quitté la Judée et est en marche vers la Galilée. Il doit donc traverser la Samarie. Est-ce l’importance de ce qui va se passer qui explique qu’on nous ait fourni tant de détails sur le temps et le lieu de l’événement? Il a lieu à Sychar (aujourd’hui, Naplouse), au puits de Jacob où un Jésus, fatigué de sa longue marche, se tient assis. C’est environ la sixième heure du jour.

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